On parle à présent des cafés « chicha » dans le collimateur de certains élus PJD. C’est le constat que l’on peut tirer des vastes campagnes de fermeture de ce type d’établissements.
Après la ville de Fès, c’est autour de la ville voisine de Meknès, de s’adonner à la chasse aux « chichas », considérées comme une drogue dure par les autorités locales. Le PJD avait tenté de faire adopter une loi au Parlement interdisant le narguilé dans les cafés avant de se désister. Aujourd’hui, c’est donc au niveau local que se joue la bataille.


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