Coup de projecteur sur le phénomène de l’extorsion sexuelle. L’ONG transparency Maroc, en partenariat avec l’Association internationale des juges femmes (IAWJ) et Transparency International (TI) ont lancé un projet d’études et d’investigation sur l’impact de la corruption sur les femmes. Objectif : promouvoir un discours anti-corruption prenant en compte la dimension genre mais aussi briser l’omerta notamment dans les universités. La semaine dernière l’ONG a même lancé une campagne pour détecter, identifier et signaler les cas de ce qu’on appelle aussi la sextorsion dans la société. On rappelle qu’il y a quelques jours, une affaire mettant en cause un professeur de l’université Abdelmalek Saadi a fait couler beaucoup d’encre.


Éloge de l’impur
Cri d’alarme des scientifiques : « repenser une civilisation où l’Homme est responsable de la nature »
Sur internet, la liberté d’expression ou la liberté d’impression psychologique ?
Vente d’esclaves en Libye : « vieux réflexe de l’archaïsme violent » selon Driss Jaydane
Poster un Commentaire