L’enjeu est de taille pour les prochaines élections : parvenir à des élections saines et crédibles. Toutefois, à quatre mois des prochaines échéances électorales, le cadre législatif et réglementaire peine à se préciser. Des zones d’ombres persistent. Une situation qui inquiète et qui a poussé les partis d’opposition, en l’occurrence le PAM, l’UC et l’USFP, à écrire au chef de gouvernement pour lui demander d’accélérer la cadence. Les signataires de la lettre ont rappelé que « la stabilité du droit électoral est un élément fondamental pour garantir la crédibilité du processus dans sa globalité ».


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