Les Espagnols oseront-ils mettre un grand coup de pied dans la fourmilière politique ? C’était déjà le cas en décembre dernier avec l’irruption de deux nouveaux partis : Podemos et Ciudadanos, parti centriste.
Cette fois, l’alliance électorale de Podemos et des communistes a permis de dépasser dans les sondages le PSOE de Zapatero. Jamais, en 40 ans de démocratie, le Parti socialiste ouvrier espagnol n’avait connu une pareille humiliation.
Mais à quelques jours du scrutin, une question taraude tous les esprits : que se passera-t-il au lendemain du 26 juin ? Si le parti populaire de Mariano Rajoy est aujourd’hui donné favori dans les sondages, Podemos, né il y a deux ans à peine, mène une lutte acharnée pour se maintenir au pouvoir.


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