Dans bien des contextes, au Maroc comme à l’international, le dialogue entre les citoyens et les institutions censées les représenter, ne constitue pas un acquis et semble confronté à bien des obstacles.
À qui la faute? Aux citoyens qui se sont collectivement laissés glisser trop facilement dans la peau de simples « administrés » ou bien aux élus, qui se sont contentés d’une position confortable?
Si des réformes sont menées pour changer les institutions et faire évoluer la classe politique dans le bon sens, est-ce suffisant? Les citoyens n’ont-ils pas aussi leur responsabilité à prendre? Ne doivent-ils pas aussi prendre conscience de leur pouvoir d’agir?
Comment encourager le dialogue entre les citoyens et les institutions censées les représenter? C’est la question que l’on se pose ce matin.


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