Sans surprise, Daech a revendiqué l’attaque terroriste contre le marché de Noël à Berlin.
On peut imaginer la suite médiatique, écrit le Figaro : « certains diront que l’événement demeure un incident isolé ». On chantera en chœur « pas d’amalgame ». D’autres se demanderont encore une fois si l’Occident ne l’a pas cherché, bien qu’on se demande de quelle manière l’Allemagne a bien pu se rendre coupable d’une forme plus ou moins intransigeante de laïcité néocoloniale.
Le système médiatique, devant l’islamisme, ajoute la publication, cultive l’art du déni. Il déréalise les événements, les égrène en mille faits divers et empêche de nommer la guerre faite à l’Occident.


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