L’enquête lancée pour éclaircir les motivations de l’auteur de la tuerie de Las Vegas, la plus meurtrière de l’histoire des États-Unis, s’orientait hier vers sa compagne, localisée dans les Philippines. Stephen Paddock, un retraité de 64 ans, n’a laissé aucun indice sur les motivations qui l’ont conduit à abattre à l’arme automatique 58 personnes et à en blesser plus de 500 autres dimanche soir dans un concert en plein air, embusqué depuis sa chambre d’hôtel de Las Vegas.
Il n’aura fallu que quelques heures à Daesh pour revendiquer la tuerie de Las Vegas, revendication aussitôt mise en doute par le FBI et la CIA. Ce qui est sûr c’est que la tuerie de Las Vegas a relancé un débat désormais rituel au sein de la classe politique américaine, divisée sur la question du contrôle des armes après chaque nouvelle fusillade de masse.


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