Alors qu’à Moscou, le président russe Vladimir Poutine recevait le Secrétaire d’Etat américain, Rex Tillerson, la Russie a opposé son veto à une résolution du Conseil de sécurité. C’est la huitième fois depuis le début de la guerre, il y a 6 ans, que Moscou bloque toute action de l’ONU contre son allié syrien. Le projet de résolution présenté par les États-Unis, le Royaume-Uni et la France demandait une enquête internationale et la coopération de Damas sur l’attaque chimique, imputée au régime de Bachar Al-Assad.
En réaction, François Hollande a estimé que la Russie avait pris « une lourde responsabilité », accusant Moscou de protéger systématiquement son « allié Assad ». Le ministre britannique des Affaires Étrangères, Boris Johnson, lui, s’est dit « consterné ». « La Russie a choisi le mauvais camp »a-t-il déclaré.


Éloge de l’impur
Cri d’alarme des scientifiques : « repenser une civilisation où l’Homme est responsable de la nature »
Sur internet, la liberté d’expression ou la liberté d’impression psychologique ?
Vente d’esclaves en Libye : « vieux réflexe de l’archaïsme violent » selon Driss Jaydane
Poster un Commentaire