Et on s’intéresse à cette prise de position inédite, voire surprenante d’un pays faisant partie de la coalition occidentale en Syrie. Il y a quelques jours, le Président Français Emmanuel Macron avait estimé que la solution en Syrie ne passait pas par un départ de Bachar El-Assad. Dans une interview accordée au « Figaro » et à sept autres journaux européens, il avait déclaré que, je cite, « le vrai aggiornamento que j’ai fait sur ce sujet, c’est que je n’ai pas énoncé que la destitution de Bachar El-Assad était un préalable à tout. Car personne ne m’a présenté son successeur légitime », et de fixer deux priorités en Syrie : « Un : la lutte absolue contre tous les groupes terroristes. Ce sont eux, nos ennemis. […] Deux : la stabilité de la Syrie, car je ne veux pas d’un Etat failli ».


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