Réfugié en France depuis 7 ans, il a commencé à travailler sur les premiers modèles il y a six mois, 25 pièces, 25 créations inspirées de sa propre histoire. D’ailleurs, sa première collection s’appelle «Exode», un symbole pour celui qui a fui son pays, l’Afghanistan, avec ses parents et sa sœur, avant de trouver refuge en Iran pour ensuite atterrir seul à 14 ans à Tours, sans argent et ne sachant parler ni le français, ni l’anglais.
Sami Nouri n’est jamais allé à l’école, son père, tailleur, lui a appris à coudre et quand il débarque en France, il a de l’or dans les mains, disent de lui les observateurs. Pris en charge par une association, il trace son chemin. Après avoir envoyé des dizaines de CV aux grandes marques, John Galliano lui répond et le prend pendant 4 semaines. Jean-Paul Gaultier s’intéresse à lui et l’appelle le «jeune surdoué», il l’engage comme apprenti pendant 3 ans. Aujourd’hui, Sami Nouri sort sa propre griffe.


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