Narendra Modi effectue cette semaine une visite en Israël, la première d’un chef du gouvernement indien dans l’Etat hébreu, qu’il dit admirer pour son savoir-faire militaire et technologique mais que ses prédécesseurs ont longtemps tenu à distance. Cette prudence diplomatique s’expliquait par la volonté de New Delhi de ne pas froisser les Etats arabes et l’Iran, un important fournisseur de pétrole, ni sa propre communauté musulmane, forte de 180 millions de membres.
L’Inde défendait officiellement la cause palestinienne, tout en entretenant des liens discrets avec Israël. Benyamin Netanyahu a déclaré de son côté que les deux pays étaient deux âmes sœurs et mêmes deux âmes jumelles.


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