Le bombardement américain en Syrie continue à secouer la scène géopolitique mondiale. Les relations entre les États-Unis et les alliés du régime de Bachar Al-Assad se sont tendues, dimanche, après que Washington ait appelé au départ du président syrien. Les propos de Nikki Haley, représentante américaine à l’ONU semblent augurer un possible changement d’approche du président américain Donald Trump après l’attaque chimique qui a fait au moins 87 morts.
Accusant le régime Assad d’en être l’auteur, les États-Unis ont pour rappel, mené vendredi des frappes contre une base aérienne de l’armée syrienne, les premières en plus de six ans de guerre en Syrie. Les chefs des armées russe et iranienne ont exprimé leur volonté de poursuivre leur coopération militaire en soutien au président Assad, « jusqu’à la défaite totale des terroristes et de ceux qui les soutiennent ».


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