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« Faire pousser » des diamants en laboratoire, une réalité dans la Silicon Valley


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Aussi beaux que les véritables mais éthiques et moins chers, c’est le défi que se lancent des firmes californiennes. Dans un dossier spécial publié par le quotidien économique français Le Echos, on apprend que les chercheurs de Diamond Foundry font pousser, en laboratoire, des pierres synthétiques, à partir d’éclats de diamants réels extraits de mines du Canada.

À l’arrivée, des diamants de synthèse qui ont une composition chimique et une structure cristalline identiques à celles des diamants naturels. À la différence près que les diamants bruts exigent des millions d’années de mutations géologiques, là où deux à quatre semaines suffisent pour fabriquer un diamant dans un réacteur à haute température.

Une idée qui séduit. L’acteur Leonardo di Caprio et des patrons du high-tech comme Evan Williams de Twitter et Marc Pincus de Zynga ont investi dans Diamond Foundry d’après les informations du quotidien économique français Les Echos. En plus de l’argument éthique, ces diamants nouvelle génération appelés « diamants de culture » (comme les perles) ou diamants « poussés en laboratoire » seraient en moyenne vendus de 30% à 50% moins cher que les diamants extraits de mines.


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