La Libye, toujours aussi divisée, plus de six ans après la révolution. L’homme fort de l’est de la Libye, le maréchal Khalifa Haftar, était hier à Paris pour rencontrer le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian, après avoir été reçu la veille à Rome par les autorités italiennes. Le maréchal Haftar, opposant au gouvernement d’entente nationale basé à Tripoli, renforce depuis plusieurs semaines son statut d’interlocuteur indispensable pour résoudre le casse-tête libyen, source d’inquiétudes pour les pays européens en première ligne face à la crise migratoire et la menace terroriste.
Ses visites à Rome puis à Paris interviennent au moment où le médiateur de l’ONU Ghassan Salamé a lancé à Tunis une session de pourparlers visant à mettre en œuvre la première étape de son plan d’action.


Éloge de l’impur
Cri d’alarme des scientifiques : « repenser une civilisation où l’Homme est responsable de la nature »
Sur internet, la liberté d’expression ou la liberté d’impression psychologique ?
Vente d’esclaves en Libye : « vieux réflexe de l’archaïsme violent » selon Driss Jaydane
Poster un Commentaire