Avant chaque ramadan, on observe une flambée des prix des denrées alimentaires. Aussi, qui sont ces intermédiaires qui jouent sur les prix? Peut-on aujourd’hui parler de consommateurs marocains en face de la fatalité de cette flambée des prix qui grèvent les budgets des ménages? Sommes-nous condamnés à dépenser deux, voire trois fois plus que d’habitude à chaque mois de Ramadan ? Une réalité devenue fatalité à laquelle ont malheureusement droit les consommateurs marocains à l’approche du mois sacré tous les ans.
Dans l’anarchie la plus totale, les prix des denrées alimentaires ne cessent de grimper, parfois plusieurs semaines avant le Ramadan, mettant le consommateur marocain en difficulté certaine, avec un pouvoir d’achat qui baisse. Le président de la Fédération marocaine des droits du consommateur, Bouazza Kherrati, a indiqué dans une déclaration à la presse cette semaine que les prix des denrées alimentaires les plus consommées au cours du mois de Ramadan enregistraient une hausse de 20% en cette période, relevant que la forte demande et la mauvaise gestion des stocks impactaient aussi l’approvisionnement.


Rachida Soulaymani, Directrice du Centre Anti-poison et de Pharmacovigilance
Fatima Zahra Janati Idrissi, lauréate du prix L’Oréal UNESCO « Pour les Femmes et la Science »
Azeddine Lazrak, président de l’Université pour Tous de Casablanca, et Mohamed Setti, ingénieur-conseil et maître conférencier
Katia Makdissi-Warren Directrice artistique et compositrice
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