Selon le procureur de Nice, les prélèvements retrouvés récemment dans l’affaire Raddad correspondent à l’ADN de quatre hommes, mais pas au jardinier marocain.
Condamné pour le meurtre de sa patronne en 1991, Raddad a toujours nié les faits. En 2014, l’avocate d’Omar Raddad avait obtenu de la part du parquet de Nice que soient ordonnés de nouveaux prélèvements près de la scène de crime. Elle s’est notamment appuyée sur la loi du 20 juin 2014 visant à assouplir les critères pour obtenir la révision d’un procès.


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