En annonçant que les créations Burberry seraient vendues dès la fin des podiums, et non plus six mois après, la griffe britannique a créé une rupture et de vraies divisions dans le secteur de la mode et du luxe.
Les maisons françaises se déclarent contre, les griffes italiennes sont hésitantes, et les marques américaines sont pour.
Aux Etats-Unis, un consensus s’installe en faveur d’une évolution des Fashion Weeks. La mode américaine veut lutter contre les copies et le phénomène de saturation en revenant à des présentations plus en phase avec la saison.
Principal argument des grands patrons Anglo-Saxons les bouleversements apportés par les réseaux sociaux.
Conséquence de ce décalage entre la date du défilé et celle de la disponibilité en magasins six mois après : des prix abaissés, une situation dont 40% des griffes de luxe se disent victimes selon une étude du cabinet de conseil en stratégie BCG réalisée pour le Council of Fashion Designers of America
Affaire à suivre…


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