Le président sud-africain, Jacob Zuma, fait face, depuis son remaniement ministériel controversé de la semaine dernière, à une révolte qui ne cesse de prendre de l’ampleur, menaçant de mettre fin à son mandat à la tête du pays. Plus que jamais isolé au sein de son parti au pouvoir, l’ANC, Zuma a, lui-même, reconnu, lors d’un déplacement vendredi au Cap oriental, que la situation dans le pays était « mauvaise ».
Jamais le président n’a été aussi contesté, estiment les analystes, soulignant que le limogeage de l’influent et très respecté ministre des Finances, Pravin Gordhan, devra unir l’opposition et des factions au sein de l’ANC contre Zuma.


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