Au Japon, dans les montagnes près de Kyoto, Nicolas Ghesquière, directeur artistique, a choisi pour Vuitton le cadre du musée Miho à l’architecture signée Ming Pei, l’auteur de la Pyramide du Louvre. Sur les podiums, une collection peuplée de femmes dandys, un brin baroques, mixée à des références japonisantes.
Ghesquière a puisé son inspiration dans la mythologie et les codes esthétiques nippons revisités à la parisienne : ceintures obis, robes du soir dorées évoquant les costumes de scène du théâtre No, des imprimés de paysages d’estampes japonaises et motifs à l’encre, des aplats de cuir en référence aux armures des samurais, et des sacs à main habillés de masques Kabuki. Un vestiaire Vuitton influencé par les peintures d’Hokusai et l’esthétique des films de Kurosawa ou Kitano.


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