Le show Zegna était le premier des 37 défilés de la Fashion Week Homme de Milan.

Son prix a été dévoilé vendredi par le groupe japonais et il est élevé, peut-être même trop estiment les experts et investisseurs nippons sondés par Reuters et qui craignent la console ne puisse pas convaincre les consommateurs qui jouent sur smartphones.

Une petite révolution en marche avec deux changements profonds dans la mode : le see now buy now, voir maintenant, acheter maintenant, des défilés qui correspondent à la saison et des collections disponibles immédiatement en magasins et non plus 6 à 12 mois avant.

Des changements dans le classement mondial des constructeurs sur le segment haut de gamme.

Sur l’ensemble de l’année, 270 millions d’ordinateurs personnels ont été vendus (chiffres Gartner) soit une baisse de 6,2% par rapport à 2015. Il s’agit de la cinquième année consécutive de baisse du marché.

Spécialisé dans l’horlogerie-Joaillerie avec dans son portfolio les maisons Cartier, Van Cleef & Arpels, Jaeger-Lecoultre, Vacheron Constantin, Piaget, ou Baume & Mercier notamment, le groupe helvétique vient de publier pour son troisième trimestre un chiffre d’affaires de 3 milliards d’euros, en hausse de 6%.

120 œuvres majeures signées de 26 artistes : un ensemble de tableaux, sculptures, installations, photographies et vidéos dans une scénographie où la chronologie s’efface au profit d’un parcours vivant dans l’art plastique moderne marocain.

La collection vient d’être présentée en Italie à Florence au salon Pitti Uomo. Elle est cosignée par Alessandro Sartori qui revient chez Zegna après avoir dirigé la création de Berluti.

L’accord a été officialisé hier et intervient donc, comme l’espérait le géant allemand, avant l’arrivée de Donald Trump à la présidence le 20 janvier.