logo-mini
surdité

Plaidoyer pour la mise en place d’un programme de dépistage de la surdité chez les petits enfants et les nouveau-nés


Partager

surdité

L’enseignant-chercheur à la Faculté de médecine et de pharmacie à Marrakech, et chef du service d’ORL au CHU Mohammed VI de Marrakech, Abdelaziz Raji, a plaidé, hier, pour la mise en place d’un programme de dépistage de la surdité chez les petits enfants et les nouveau-nés pour leur apporter de l’aide par des prothèses auditives et l’implant cochléaire. Actuellement, plusieurs « enfants sourds-profonds échappent au radar par manque de programme de dépistage ».

De plus, ces enfants non pris en charge sont confrontés à des difficultés à l’école, au sein même de leurs familles. Malgré tout, les CHU agissent de la façon la plus appropriée pour gérer les problèmes de santé relatifs à cet organe sensible, a rappelé Abdelaziz Raji, qui a annoncé que grâce au financement de la région Marrakech-Safi, en collaboration avec le service d’ORL du CHU de Marrakech et sous l’égide du ministère de la Santé, un projet de dépistage va être implémenté, dès l’an prochain, chez les nouveau-nés au sein des maternités et dans les écoles primaires. Et pour déployer ce programme au niveau national, des moyens supplémentaires seraient nécessaires pour élargir l’efficacité du dépistage.

 

L’ONU appelle à relever le double défi de la pauvreté énergétique et du changement climatique

Avant la Cop 23 qui commence la semaine prochaine à Bonn, en Allemagne, le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a appelé à redoubler d’efforts pour produire une énergie à la fois propre et abordable, et à un rythme qui satisfera la demande croissante sans porter préjudice à l’environnement. Les services énergétiques modernes font partie intégrante de la réduction de la pauvreté, de la sécurité alimentaire, de la santé publique et d’une éducation de qualité pour tous. De plus, ils sont la clé d’une industrialisation durable, de villes plus saines et plus efficaces et d’une action climatique réussie.

Malgré ces évidences, le monde est encore loin de réaliser la vision d’une énergie propre et abordable pour tous étant donné qu’environ un milliard de personnes vivent encore sans aucun accès à l’électricité, dont 500 millions en Afrique et plus de 400 millions dans la région Asie-Pacifique. Trois milliards d’individus continuent de cuisiner et de chauffer leurs maisons sans avoir recours à des carburants propres et à des technologies plus efficaces. « Le monde a donc besoin de plus d’énergie et en particulier de plus d’énergie propre », a martelé le chef de l’ONU.

 

Vers un Nobel sans nucléaire

On vous le disait, le prix Nobel de la paix a été décerné à une ONG antinucléaire, la Campagne internationale pour l’abolition des armes nucléaires. Mais financer les 925 000 euros du prix qui sera remis le mois prochain, grâce au nucléaire pour le moins que l’on puisse dire, ça faisait tache. Certes, moins de 1% des actifs de la fondation Nobel étaient placés dans des entreprises de nucléaire militaire, indirectement par le biais de fonds de placement.

Mais c’est encore trop et dans les 12 mois à venir la fondation sera définitivement désengagée de tout investissement dans des groupes liés à la fabrication d’armes nucléaires. Voilà qui est dit ! Mais pour la petite histoire,  n’empêche que le suédois Alfred Nobel, mort en 1896, était chimiste, inventeur de la dynamite. Il possédait une entreprise d’armement, à l’origine de son immense fortune. Une fortune que par testament il légua pour la création du prix qui porte son nom.

 

Les animaux, pionniers de la conquête spatiale

Il y a 60 ans, la chienne Laïka (qui signifie « aboyer » en russe) s’envolait pour un voyage sans retour ! C’était même trois ans et demi avant le vol historique de Iouri Gagarine dans l’espace. Laïka devenait alors le premier être vivant envoyé dans l’espace. Un mois à peine après la mise en orbite du premier Spoutnik soviétique, le deuxième satellite artificiel de l’Histoire décolle vers l’espace avec l’animal, qui avait été ramassé dans les rues de Moscou. Il ne survivra que quelques heures.

Mais, ses neuf tours de la Terre ont fait de Laïka le premier cosmonaute de la planète, sacrifié au nom du succès de futures missions spatiales. L’objectif était de montrer la supériorité de l’URSS sur les États-Unis juste avant les commémorations du 40ème anniversaire de la Révolution bolchevique, le 7 novembre.


Poster un Commentaire

dix-sept − 7 =

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.